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On n’est pas vieux lorsque l’on a vécu un grand nombre d’années. On est vieux lorsque l’on a déserté son idéal.

Général Mac Arthur, 1945.

 

Peu d’institutions peuvent se défendre contre ceux qui donnent à croire qu’ils les défendront.

Henry Kissinger, Diplomatie.

 

Malheur au chef dont les arguments à la fin d’une guerre ne sont pas aussi plausibles qu’au début.

Bismarck.

 

Dans l’univers de calcul inhumain et sans pitié de Staline, un principe restait pourtant immuable : rien ne justifie de livrer des batailles impossibles pour des causes incertaines.

Henry Kissinger, Diplomatie.

 

La carte n’est pas le territoire.

Bateson.

 

Les problèmes du 21ème siècle ne peuvent être résolus avec les peurs et les recettes des 19ème et 20ème siècle.

 

Etre, ou ne pas être, c’est là la question.

Y’a –t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte ? Mourir… dormir, rien de plus ; … et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c’est là un dénouement qu’on doit souhaiter avec ferveur. Mourir…dormir, dormir ! Peut-être rêver ! Oui, là est l’embarras. Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort, quand nous sommes débarrassés de l’étreinte de cette vie ? Voilà qui doit nous arrêter. C’est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d’une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations et les dédains du monde, l’injure de l’oppresseur, l’humiliation de la pauvreté, les angoisses de l’amour méprisé, les lenteurs de la loi, l’insolence du pouvoir, et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d’hommes indignes, s’il pouvait en être quitte avec un simple poinçon ? Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d’où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas ? Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergique et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d’action…

William Shakespeare, Hamlet.

L’habitude, ce monstre qui dévore tout sentiment, ce démon familier, est un ange en ceci que, pour la pratique des belles et bonnes actions, elle nous donne aussi un froc, une livrée facile à mettre. Abstenez-vous cette nuit : cela rendra un peu plus aisée l’abstinence prochaine. La suivante sera plus aisée encore ; car l’usage peut presque changer l’empreinte de la nature ; il peut dompter le démon ou le rejeter avec une merveilleuse puissance.

William Shakespeare, Hamlet.

 

Un roi ne rend jamais le dernier soupir que dans le gémissement de tout un peuple.

William Shakespeare, Hamlet.